I
Il dépose, le
Poète,
Dans la coupe d’un champ sans sillons,
La Brebis de ses mots,
Veille sur son égarement ;
Et s’oublie alors ce qui s’égare justement,
Dans sa harpe,
Le Berger.
Sur Gustav Mahler, Adagietto, Sehr langsam.
I
Il dépose, le
Poète,
Dans la coupe d’un champ sans sillons,
La Brebis de ses mots,
Veille sur son égarement ;
Et s’oublie alors ce qui s’égare justement,
Dans sa harpe,
Le Berger.
Sur Gustav Mahler, Adagietto, Sehr langsam.