J’aime ces heures où le vent change le cours du temps dans mes cheveux, avec douceur
Où ce que je lis me rend plus humaine
Où le danger de vivre est inépuisable dans cette journée vaine
Où le coeur – ce désert – dit son cri florissant que pourtant je n’entends
s’épanouir
/MC\, 17.8.17, Du vent
